Témoignage de Margot, étudiante admise au CRFPA 2022 à l’IEJ Toulouse en droit pénal
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit péna.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pén.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pén.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pé.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pé.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit p.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit p.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit .
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
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Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit .
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J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
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J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit .
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit .
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit c.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit c.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit ci.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit ci.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civ.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civ.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civi.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
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II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civi.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
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IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
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Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
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XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Morgane, un de nos anciens étudiants admis au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Morgane, un de nos anciens étudiants admis au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Morgane, un de nos anciens étudiants admis au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit péna.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pén.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pén.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pé.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit pé.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
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Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit p.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
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J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
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IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit p.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit .
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit .
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
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Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
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II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit .
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
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Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit .
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit c.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit c.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
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II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit ci.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit ci.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
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IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
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Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civ.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
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J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
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J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civ.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civi.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civi.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
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I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
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IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
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Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
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Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admises au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Morgane, un de nos anciens étudiants admis au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Morgane, un de nos anciens étudiants admis au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Morgane, un de nos anciens étudiants admis au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Morgane MARI et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ de Grenoble
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour les spécialités de droit civil.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
J’étais salariée dans diverses structures (étude notariale, préfecture de l’Isère).
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
J’ai réussi à ma deuxième tentative.
Mon premier échec a été très violent pour moi et j’ai eu du mal à envisager mon avenir professionnel après celui-ci. J’ai pris du temps avant de décider de repasser l’examen, car j’appréhendais beaucoup de revivre un été d’isolement et un potentiel échec. En me remettant dans les révisions et en retrouvant ma motivation, j’ai vite réussi à comprendre mes erreurs passées et je peux dire que l’échec est intrinsèque au CRFPA : il est une partie de l’entraînement et de son obtention.
Ma deuxième préparation était plus positive, plus méthodique et constructive. J’y ai pris du plaisir et mon travail a payé.
V. Quel était ton profil étudiant ?
J’ai eu un parcours scolaire qui relève du sans faute sans être pour autant brillant : je n’ai jamais redoublé, j’ai eu mon bac et ma licence avec mention bien, j’ai eu le M2 que je souhaitais avec mention également. J’ai toujours fait en sorte d’en faire le moins possible tout en étant efficace et les études n’étaient pas une source de stress pour moi.
La COVID a chamboulé ma vie et a modifié ces acquis. Ainsi, tout a changé avec mon premier passage du CRFPA : difficulté d’organisation, angoisse extrême, peur de l’échec, gestion de cet échec… Mon profil « bonne élève » m’a joué des tours et j’ai compris que cet examen ne pouvait être abordé dans une perspective estudiantine, mais quasi-professionnelle.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
J’adore le droit et le pratiquer. Je veux que ma vie professionnelle soit la plus libre possible, d’être à mon compte et entrepreneur.
J’ai toujours voulu avoir ma propre société. J’adore aider à la résolution des problèmes des autres.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance.
J’ai estimé que pour un deuxième passage, il n’était pas nécessaire de me préparer toute l’année durant et qu’il me fallait garder de la motivation et de l’endurance.
Prendre l’annuelle aurait donc été contreproductif à mon sens. J’habite à Grenoble, ainsi, il n’était pas possible d’assister aux cours en présentiel.
J’ai toutefois opté pour la formule intensive, car j’ai besoin d’être cadrée, rassurée et guidée au maximum.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
La note de synthèse est très durement notée, les consultations doivent être traitées de manière concise et précise (pas de développement à rallonge, pas d’exposé des faits, il ne faut pas se perdre dans les détails), il est possible de laisser son brouillon dans la copie au cas où l’élève n’a pas le temps de finir sa rédaction avant la fin de l’épreuve, il y a des points jury pour les élèves ayant plus de 9,5 de moyenne générale, les grands oraux sont exclusivement basés sur un texte.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je l’ai mal vécu, car toutes les questions ont concerné l’arrêt que j’ai du commenté et il n’y a eu aucune ouverture sur la culture juridique générale. Cela m’a désarçonnée et surtout, je n’avais pas du tout de connaissances sur le droit des étrangers (thème de l’arrêt en question). Je suis donc sortie de l’oral déconfite malgré ma ténacité durant l’épreuve où j’ai vraiment lutté pour réussir à m’en sortir. Finalement, j’ai eu 12 !
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Si je devais choisir un seul conseil : faites attention à l’épuisement. Cela englobe le fait de ne pas trop travailler, de se reposer, de prendre des weekends de pose, de ne pas trop angoisser (garder un mindset positif et ne pas se victimiser) et faire le deuil de la perfection
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Se renseigner sur la méthodologie précise et les attendus en note de synthèse et se rapprocher de Monsieur MILLEVILLE (directeur de l’IEJ) en cas de difficultés, car il est d’une bienveillance infinie envers ses élèves.
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
Commencer au plus tôt à lire les fascicules de droit civil, car le programme est très vaste et apprendre par cœur les articles essentiels en procédure civile et savoir les situer dans le code.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap’Barreau ?
J’ai connu Cap’Barreau via les réseaux sociaux avec Rémy DANDAN.
Je me suis renseignée sur la prépa et trois choses m’ont convaincue : l’affichage de leur taux de réussite (qui était très bon), le fait d’être dans des petits groupes en visioconférence durant lesquels il est possible de prendre la parole et d’interagir directement avec les professeurs puis la préparation au grand oral qui semblait complète et intéressante.
Si tu veux toi aussi suivre une préparation Cap’Barreau pour réussir ton CRFPA, clique sur le bouton ci-dessous :
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.
Cette semaine, on vous partage le retour de Margot, une de nos anciennes étudiantes admise au CRFPA 2022
I. Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour, je m’appelle Margot ARBERET et je vais vous parler de mon expérience avec la prépa Cap’Barreau au sein de l’IEJ Toulouse
II. Quelles étaient tes spécialités ?
Pour ma part, j’ai opté pour le droit pénal.
III. Quelle était ta situation lors de ton année de réussite ?
Diplômée d’un Master 2 en droit privé général, j’ai consacré l’année 2022 à la préparation à l’examen. Parallèlement, je travaillais en temps partiel dans une boutique de prêt-à-porter.
IV. À combien de tentatives as-tu réussi ?
Cette année marquait mon troisième et dernier passage.
Le premier échec était assez évident, je n’avais presque pas travaillé de l’été et j’étais concentrée sur mon entrée en Master 2.
Le second échec a été bien plus difficile, car inattendu. J’ai pris le temps d’accueillir la nouvelle et de me reposer, avant de me relancer.
V. Quel était ton profil étudiant ?
Je pense être une bonne élève, ni la meilleure, ni la pire. J’ai toujours validé mes semestres avec mention (mention bien en licence et mention assez bien en M1 et M2), en travaillant régulièrement, mais sans jamais être au maximum de mes capacités. J’ai découvert la notion de « travail acharné » pendant ma préparation à l’examen.
VI. Pourquoi avoir choisi le métier d’avocat ?
Pour mettre ma passion du droit au service des autres et porter la voix de ceux qui n’ont pas les moyens d’être entendus.
VII. Quel accompagnement as-tu choisi et pourquoi ?
J’ai choisi la formule estivale intensive à distance. Celle-ci ne débutant qu’au mois de juin, j’ai pu, durant les 6 premiers mois de l’année, d’une part, parcourir l’ensemble du programme de mon côté et, d’autre part, suivre les cours dispensés par mon IEJ.
VIII. Quelles sont les spécificités de votre IEJ ?
Concernant les écrits, la seule spécificité de l’IEJ de Toulouse réside dans la méthodologie de la note de synthèse.
Concernant le grand oral, les sujets sont, en très grande majorité, des commentaires de décision ou d’article de presse.
Les professeurs de Cap’Barreau tiennent compte de ces particularités tant au niveau des sujets que lors des corrections.
IX. Comment s’est passé ton Grand Oral ?
Je suis tombée sur un sujet plutôt difficile et le jury ne m’a pas non plus fait de cadeaux lors des questions. J’ai essayé de rester sûre de moi et de ne pas me laisser déstabiliser, mais je suis sortie de la salle avec beaucoup de doutes. Finalement, j’ai été agréablement récompensée avec une très bonne note.
X. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant qui passe le CRFPA en 2023 ?
Ne jamais abandonner ! Les mois de préparation sont intenses et difficiles, mais il ne faut jamais perdre confiance ni baisser les bras.
XI. Quel conseil donnerais-tu à un étudiant de ton IEJ ?
Suivre la méthodologie de la note de synthèse donnée par le professeur : pour ma part, cette épreuve a sauvé mes écrits !
XII. Un conseil à un étudiant qui aurait la même spécialité que toi ?
En droit pénal, comme pour les autres spécialités, la clef de la réussite est l’entraînement quotidien aux cas pratiques.
Les connaissances théoriques dont vous avez besoin pour appréhender l’examen sont, pour la majorité, dans les codes, l’important est de savoir comment les mobiliser.
XIII. Ton retour d’expérience sur Cap ‘Barreau ?
J’ai découvert Cap’Barreau par l’intermédiaire d’une camarade qui avait suivi la formule estivale intensive l’année précédente.
Les fascicules sont exhaustifs, permettant d’avoir une approche complète du programme. Les cours dispensés se concentrent principalement sur les points les plus complexes du programme et les professeurs adaptent leur séance en fonction des demandes des étudiants sur telle ou telle notion, ce qui est très appréciable. Les séminaires de correction des examens blancs sont très utiles pour comprendre nos éventuelles erreurs et progresser.
Concernant le Grand Oral, les entraînements sont très formateurs et permettent d’appréhender avec moins de stress le grand oral.
Enfin, l’équipe administrative est d’une grande bienveillance, toujours présente pour répondre à nos interrogations et nos doutes.